Perfectionnements aux cintres ou porte-vêtements

Perfectionnements aux cintres ou porte-vêtements.
Demandé le 27 janvier 1967
Délivré par arrêté du 5 février 1968.

RÉSUMÉ

La présente invention est caractérisée par les particularités ci-après prises isolément ou selon toutes les combinaisons possibles :

I° En ce qui concerne les cintres ou porte-vêtements qui constituent une sorte de triangle fermé, par le fractionnement de la base ou de tout autre côté en deux éléments, égaux ou non, laissant entre eux un passage suffisant pour qu’un pantalon puisse, par là, pénétrer à l’intérieur du triangle afin d’y être suspendu ou, inversement, en être retiré;

2° Par une variante qui, partant d’un triangle fermé, permet de la même manière — grâce aux deux éléments, égaux ou non, précités — de suspendre un pantalon ou de le retirer;

3° Par une autre variante ouvrant ce passage nécessaire dans l’un des angles du triangle;

4° Par un ergot empêchant le pantalon de tomber;

5° Par la taille « en sifflet » des extrémités, se faisant vis-à-vis, des deux éléments qui supportent le pantalon;

6° Par une lame faisant ressort et pressant le pantalon contre ses supports, afin qu’il ne puisse tomber;

7° Par des rallonges coulissant sur les bras inclinés des cintres et des portemanteaux quelconques, afin d’adapter ces derniers à l’ampleur variable des vestes, robes, manteaux, etc.;

8° Par des butées, épaulements, glissières ou pièces de forme, limitant la course de ces rallonges;

9° Par des bossages et alvéoles, des découpages et crans, fixant des positions intermédiaires à ces rallonges;

10° Par tous profils transversaux, spécialement ajustés, des bras inclinés et des rallonges, permettant à ces dernières de coulisser à frottement doux sur les bras inclinés du cintre.

Georges, Gabriel, Joseph RODOLAUSSE résidence Beaulieu (G. 26). 84, avenue de Muret. 31 – Toulouse

 

 

 

 

 

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