1/ Georges Rodolausse : repères biographiques

Publié le 30 juillet 202331 août 2023 par admin_rodolausse965

Sommaire

2/ Georges Rodolausse : brevets

3/ Georges Rodolausse : vie publique

4/ Pour la reconnaissance de la « boîte noire »

5/ La quête de la diversification

Georges Rodolausse

Industriel Inventeur-fabricant-distributeur

né le 29 décembre 1903- décédé le 9 décembre 1984

Marié à Juliette Lavanture, le 2 septembre 1912-11 mars 1995

Source : Christian Rodolausse : Georges est né à Carrendié. À l’âge de trois ans, il perd sa maman Noémie, victime d’une chute mortelle dans l’escalier de sa maison. Il fut donc élevé par son père et de nombreuses « nounous » jusqu’à son adolescence. Il vécut à Paris jusqu’à l’âge adulte puisqu’il fit son service militaire dans l’armée à l’antenne ra- dio souterraine du Champs de Mars, reliée à la Tour Eiffel. À son retour à Saint-Antonin, il suivit à Toulouse des cours d’ingénieur. Le 14 janvier 1932, Georges épouse Juliette Lavanture à Montauban, jeune étudiante, préparatrice en pharmacie chez M. et Mme Duchein – fille de Charles et de Marie Lavanture, enseignants de l’Éducation nationale.

Georges prend la suite de son père. Il poursuit tout à la fois les dossiers déjà engagés (machines agricoles, « boîte noire » pour les trains) et lance de nouveaux produits pour compenser le déclin des marchés agricoles. L’évolution du monde industriel aura raison de ses efforts ; il arrêtera l’activité de l’entreprise en 1961.

Avec Éloi, tout comme Éloi l’avait fait avec son père Pierre, Georges avait participé aux foires-expositions à Paris et en province, tout en continuant à fabriquer des monte-paille jusqu’à la fin de ce marché, autour des années 1945-1946.

De 1922 à 1939, il a travaillé avec son père Éloi : il l’a assisté et aidé dans l’élaboration de l’appareil de sécurité et fait de nombreux déplacements à Paris et une fois en Angleterre. Sans compter sa présence nécessaire aux essais de l’appareil de sécurité sur les lignes du réseau de chemins de fer Paris-Orléans.

Il était en quelque sorte un associé, non officiel, filial, de son père : il a été le co-inventeur et le dessinateur de plans pour certains brevets pris par Éloi.